C'est une des substances que l'on retrouve dans les eaux de rejet de la fracturation hydraulique, selon un rapport paru en décembre 2012, qui propose une analyse toxicologique et chimique, rapport publié par l'Association Toxicologie-Chimie..
La majorité des composés chimiques repérés dans les fluides de fracturation hydraulique d’exploration et d’exploitation des huiles et gaz de schistes ou hydrocarbures de roche-mère, sont pour l’essentiel des xénobiotiques (substances étrangères à l'organisme), dont plusieurs sont très toxiques et très polluants pour l’environnement.
Il est donc essentiel de considérer, que seules les techniques de fracturation, respectueuses de la santé humaine et de l'environnement, seraient à étudier dans la perspective d'une politique énergétique, acceptable par tous.
Espérons que dans les futurs rapports qui ne manqueront pas d’apparaître, cette dimension pluridisciplinaire ne soit pas omise.
LA CHIMIE C’EST LA VIE !
IL NE FAUT PAS L’OUBLIER, MEME SI DE NOMBREUX MODELES ECONOMICO-POLITIQUES NE SEMBLENT PAS S’EN SOUCIER.
ESPERONS QUE CE MESSAGE SERA ENTENDU !
Ainsi se conclut ce bilan toxicologique et chimique établi par le chercheur André Picot.
Il peut être lu dans son intégralité sur le site de l'association ATC